Elle y fait encore plus scandale que dans les précédents, dans un univers de sexe et d’argent. Une ambiance totalement assumée par l’artiste et la production pour la réalisation de clip.
Le tournage
Le clip, réalisé par Vincent Haycock et Dion Beebe, a été tourné à Los Angeles dans les Thunders Studios. 3 jours ont suffi pour en effectuer le tournage, puisque tout avait été scientifiquement préparé, au préalable.
Les intervenants
Le tournage s’est, bien sûr, entouré de toute une équipe de professionnels : styliste (Mel Ottenberg), visagistes (Yusef Williams et Ursula Stephen), chorégraphe (Othan Burnside), designer (Adam Sekman), etc. Mais, bien sûr, pour les besoins du scénario, de participantes, spécialistes du pole dance et du twerk comme Nicole Williams, Candace Cane, Secret Moneii ou Asha Franklin.
Le matériel
Tantôt caméra fixe, tantôt caméra à l’épaule, la réalisation de clip propose gros plans et vues plus larges pour jouer à la fois sur le chant et la danse, le texte et la façon de l’imager.
Le décor
C’est dans un décor très simple, qu’a été tourné le clip. Un fauteuil, une barre de pole dance, de l’eau, rien ne vient détourner le regard du spectateur qui ne se dirige que vers l’artiste ou la danseuse.
Atmosphère, ambiance
Le travail de réalisation de clip a surtout porté sur les effets de lumière et les ambiances. Dominante bleue, dominante verte, les lumières viennent renforcer cette ambiance où strip-tease et argent se mêlent. Le tout dans un nuage de fumée à base de dioxyde de carbone qui rappelle les boîtes de nuit.
Les tenues
Certains diront que parler de tenues est un bien grand mot. Pourtant, même dans cet univers provocant, ces tenues ont été bien réfléchies, bien choisies. Dans des sélections que ne renierait pas une Madonna, perruque peroxydée, chaussures à plateforme, mini-short en jean et soutien-gorge en strass très Victoria’s Secret, chaussée de gants et de lunettes noires, Rihanna attise le spectateur. Une réalisation de clip tournée vers la sensualité.
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